L'auteur des Mauvaises gens a salué « la mémoire des affreux jojos, de ces brillants emmerdeurs ».
Avant de citer Victor Hugo et son fameux discours du 11 septembre 1848 à l’Assemblée nationale : « Le principe de la liberté de la presse n’est pas moins sacré que le suffrage universel. Attenter à l’une, c’est attenter à l’autre. »
L’auteur des Mauvaises gens en appelle à notre cohérence : « Charlie Hebdo devient un emblème national. Il n’a pas besoin de ça ! Il a besoin de lecteurs ! »
« C’est une société tout entière qui doit relever le défi de l’unité face aux totalitarismes », a lancé Titi Robin.
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